In The Electric Mist

On reprend contact avec la vie, une toile ce soir, un thriller américain de...Bertrand Tavernier, "Les Brumes Electriques", sur fond de bayou louisianais, avec de la musique comme j'aime, une touche surnaturelle comme j'adore, et 2 surprises: la mauvaise, c'est qu'ils ont changé la doublure de Tommy Lee Jones, la bonne, c'est l'acteur ci-dessous à gauche.


Commentaires

jipes a dit…
J'ai fait une note en début de semaine à ce sujet on devrait y aller samedi soir le voir en V.O
Lefty a dit…
@Jipes
je prends le train en marche, problèmes de fonctionnement.
12Bb a dit…
Ben faisait longtemps que je n'avais pas laissé un commentaire en ce haut lieux de la culture, du blues, et de la bière ! J'irai ce soir et après on pourra échanger nos impressions.
A plus
Lefty a dit…
@12Bb
ça marche, bienvenue chez toi!
12Bb a dit…
Je recommande vivement d'aller voir ce film. Il n'y a rien à dire de plus que de le recommander, en ces temps de misère cinématographique, un film aussi bien réalisé, monté et interprété est assez rare. Il y avait bien longtemps qu'un cinéaste ne m'avait pas surpris. La vision de l'Amérique, enfin d'une partie de l'Amérique par Tavernier est pleine de sens, sans parti pris. Enfin du cinéma qui ne prends pas les spectateurs pour des crétins. J'en souhaiterai même que le cinéma américain soit réalisé par des Frenchies. Quoique la période américaine de Kassovitch n'est pas non plus une référence. Tommy Lee Jones est parfait dans le rôle de Robicheaux, Buddy Guy venant faire aussi un petit tour dans la distribution, comble mon coeur de Bluesman. Et grandiose prestation de Goodman (qui lui aussi maitrise son art).

Je suis sous le charme de ce film, des ambiances, des émotions, des personnages, un bon scénario, de très bons dialogues, du cinéma comme en fait trop rarement.
Lefty a dit…
@12Bb

what else?

mmes et mrs, vous venez de lire une critique hyper pertinente, à laquelle j'adhère comme de la superglue!

même vision de mon côté!

Posts les plus consultés de ce blog

Pancho and Lefty

Joe Bonamassa au Havana Club