chanson extraite de "Lamb Lies Down On Broadway", ce jour pour me rappeler qu'il ne faut jamais croire que l'on maîtrise tout, surtout pas notre "art"...
merde.
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Commentaires
Anonyme a dit…
Erf.Je crois que le concert de "The Lamb.." (juste avant le départ de Peter Gabriel) reste la plus grosse baffe anesthésiante que j'ai pu prendre dans mon existence (avé un concert de Yes aussi, quand même). Quelle madeleine de Proust vient tu de m'envoyer, Lefty !
Blague a part,désolé pour l'accident.Dans mon boulot je ne touche rien de vivant, que de la paperasse, même pas une clé de 12. Alors je peux la broyer, la mettre en boule et la jeter sur mes co-religionnaire..même pas mal.
J'espere que dans ces cas là, on se remet vite à penser a toutes les vies que l'on a sauvé
bof, honnêtement, on se fige sur son nombril en ruminant des choses sur des faits pour lesquelq on n'est pas fautif, mais on a du mal à le croire.
fait yeche.
Anonyme a dit…
Gamin, mes parents avaient pris un jeune et sympathique cocker pour me faire plaisir (enfant unique oblige). Il s'appelait Utten. Quelques mois après, alors que nous étions en vacances, celui-ci se mit à éternuer sans arrêt. Diagnostic rapide du Véto, une herbe coincée dans une 'narine'. Une petite anesthésie et hop, il n'y paraîtrait plus rien. Utten ne s'est jamais réveillé. Je me souviens du malaise de mon père à m'annoncer la nouvelle, aussi surprenante. Il est enterré quelque part dans le sud de la France. Plutôt confiant dans les autres mais également fataliste par nature, on a cru dans les explications du véto. Voilà le souvenir qu'évoque cet accident. Allez, va écouter de la musique Lefty, mais pas de blues !
les pépins de ce genre sont très rares, en ce qui me concerne, vu le volume de chirurgie de la clinique, mine de rien plus que conséquent, ça m'arrive à peu près tous les 3 ans (i.e. mort d'un animal en bonne santé sur un choc anésthésique vrai). ça fait très peu, mais ça fait très chier.
ça vient se rajouter à toutes les questions que se pose un "travailleur" de la cinquantaine, dont le boulot est difficile et évolue trop vite pour lui.
bref, ça donne envie...d'autre chose.
Anonyme a dit…
Je comprends.
D'autant plus que, comme François, je ne fais pas dans le vital.
la réponse typique qu'on nous fait c'est "bah, ça n'est qu'un chien/chat, après tout, y'a pas mort d'homme."
eh ouais, mais ça nous fait (presque) le même effet.
incontrolable.
Anonyme a dit…
J'ai eu la chance de les voir à la Fête de l'huma maheureusement Peter Gabriel etait déjà parti c'etait l'époque de A Trick Of The Tail C'etait un super show notamment au niveau des lights ! J'aimais beaucoup leur musique à l'époque....
à mon avis, ils sont restés performants jusqu'au départ de Steve Hackett, moment ou Phil Collins a imposé son style différent, et beaucoup plus commercial. par contre, leur light show a toujours été réputé comme excellent.
Pourquoi ce surnom, pourquoi Lefty et pas, que sais-je, 3timeswaltz? En partie pour cette chanson, celle qui suit, en (grande) partie parce que lefty veut dire gaucher en anglais, bien sûr. Créee en 1972 par Townes Van Zand t, popularisée par Emmylou Harris en 1977, elle a ensuite été reprise par un tas d'inconnus, Willie Nelson et Bob Dylan , entre autres. L'histoire qu'elle raconte? la voilà . Voici même les lyrics , pour les plus interessés. Comment elle la raconte? comme ça, avec sa voix, LA voix, sa musique country tellement typée (matez Mr Albert Lee à la Telecaster butterscotch blonde, c'était encore le bon temps). Un extrait d'Emmylou au "Old Grey Whisle Test", vidéo que j'ai le bonheur d'avoir dans mes archives. Bon Dieu, qu'elle est belle. La chanson, bien sûr. Et puis Emmylou aussi, pourquoi le nier. J'avais déjà blogué sur Emmylou Harris, mais j'y reviendrai, mesdames et messieurs. Sûr. Merci pour la chanson et le surnom,
Un petit essai sur un morceau de Genesis de l'album "The Lamb Lies Down On Broadway" qui s'apelle "Hairless Heart". La présence guitaristique est discrète, comme souvent avec Hackett , mais diaboliquement efficace. J'ai utilisé un background MIDI et j'ai refait uniquement les parties guitares, qui sont réparties en 3 pistes: - la première est une guitare "semi-acoustique", reprenant le thème pricipal sous forme d'accords. - la deuxième reprend le thème avec un effet de slowattack, qui casse l'arrivée de la note. - la troisième n'est ni plus ni moins qu'une ligne de basse jouée avec une distorsion de style fuzz. Ce morceau me semble représentatif de l'essence du jeu de Steve Hackett , maître de l'intervention discrète mais ô combien nécessaire dans ce type de musique. Jamais, à mon avis, un guitariste n'aura été aussi important dans un groupe que Hackett pour Genesis, peut-être pas au niveau des compositions (c
Pour fêter le premier anniversaire des Lefty Chronicles, j'avais un choix à faire pour le cadeau: mettre la clef sous le paillasson ou alors, faire le voyage aller-retour vers Toulouse pour aller à la rencontre de Joe Bonamassa . Bon, assez rigolé: j'ai choisi la deuxième option, vous vous en doutez. D'autant que le concert a donné lieu à un autre évènement: la rencontre avec François, "Mr Grattonaute" ou "Patwon" selon les moments. Mais, cela fera l'objet d'un article à part entière, les choses à dire étant nombreuses, diverses et variées. Concentrons nous sur l'essentiel: Mr Joe Bonamassa , en concert unique en France, à Ramonville, tout près de Toulouse, au Havana Club, haut lieu de la musique du sud-ouest, tiens, pour les gars du coin, une des prochaines programmation sera Popa Chubby, fin Novembre ( Spécial Dédicace pour Sobe, à la même période, les Nèg' Marrons). Après un début de soirée en forme de quête du Saint Graal (où est-ce q
Commentaires
Quelle madeleine de Proust vient tu de m'envoyer, Lefty !
tant mieux, les madeleines, c'est bon.
bien meilleur que les accidents anesthesiques.
un concert que j'aurais bien aimé voir, d'ailleurs...
J'espere que dans ces cas là, on se remet vite à penser a toutes les vies que l'on a sauvé
bof, honnêtement, on se fige sur son nombril en ruminant des choses sur des faits pour lesquelq on n'est pas fautif, mais on a du mal à le croire.
fait yeche.
Il s'appelait Utten.
Quelques mois après, alors que nous étions en vacances, celui-ci se mit à éternuer sans arrêt.
Diagnostic rapide du Véto, une herbe coincée dans une 'narine'.
Une petite anesthésie et hop, il n'y paraîtrait plus rien.
Utten ne s'est jamais réveillé. Je me souviens du malaise de mon père à m'annoncer la nouvelle, aussi surprenante. Il est enterré quelque part dans le sud de la France.
Plutôt confiant dans les autres mais également fataliste par nature, on a cru dans les explications du véto.
Voilà le souvenir qu'évoque cet accident.
Allez, va écouter de la musique Lefty, mais pas de blues !
les pépins de ce genre sont très rares, en ce qui me concerne, vu le volume de chirurgie de la clinique, mine de rien plus que conséquent, ça m'arrive à peu près tous les 3 ans (i.e. mort d'un animal en bonne santé sur un choc anésthésique vrai). ça fait très peu, mais ça fait très chier.
ça vient se rajouter à toutes les questions que se pose un "travailleur" de la cinquantaine, dont le boulot est difficile et évolue trop vite pour lui.
bref, ça donne envie...d'autre chose.
D'autant plus que, comme François, je ne fais pas dans le vital.
la réponse typique qu'on nous fait c'est "bah, ça n'est qu'un chien/chat, après tout, y'a pas mort d'homme."
eh ouais, mais ça nous fait (presque) le même effet.
incontrolable.
à mon avis, ils sont restés performants jusqu'au départ de Steve Hackett, moment ou Phil Collins a imposé son style différent, et beaucoup plus commercial.
par contre, leur light show a toujours été réputé comme excellent.